9 avril 2006
Poésie cynique
Des dizaines de milliers de bateaux
ratissent les fonds marins en toute illégalité
et en toute impunité détruisent la biodiversité
pour nourrir la masse humaine.
Des forêts sont détruites
pour étendre à l’infini des plantations
avides de pesticides et d’engrais chimiques.
Quelle absurdité !
Croissons, multiplions,
puisque nous ne savons faire que ça !
Et crevons tous bien vite, que la terre respire enfin !
Poésies cyniques sur :
http://philippe.annaba.free.fr/epilogue
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